Les traumatismes psychiques, notamment précoces au cours de l’enfance sont des facteurs de risque majeur des maladies psychiatriques à l’âge adulte. Le travail récemment publié par Gapp et al dans Nature Neuroscience montre que les traumatismes chez le rongeur laisse des cicatrices qui ont la particularité de se transmettre de génération en génération.