L’évolution à long terme du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) en l’absence de traitement, est souvent marquée par des complications graves : pathologies somatiques (1) ou suicide (2) par exemple. Un certain nombre de traitements ont été validés pour cette pathologie comme la thérapie d’exposition mais celles-ci ne sont pas toujours efficaces (un tiers des patients y seraient résistants) (3). Une meilleure compréhension des facteurs individuels de réponse ou de non réponse à ces traitements est indispensable afin d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de SSPT.
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